Notre dernier week-end de ce premier séjour vient de se terminer. Ce dernier a été ponctué, en ce qui me concerne de contacts privilégiés avec tout ce qui nous entoure ici.
Lors de notre visite à Ras al Jinz il y 3 semaines, nous n'avions pu voir les tortues, ces dernières ne sortant de l'eau qu'à l'obscurité. Retour donc cette fin de semaine en compagnie de Joao ainsi que de Richard et Julie de SIM. Les faits saillants du voyage, ceux du moins dont j'ai eu conscience, ayant dormi environ 8 heures sur dix sur la route car la grippe qui m'asaille et le bar marocain de la veille m'ont un peu rentré dans le corps: Julie a vu (et même embrassé) son premier chameau. Elle n'a pas fait de jaloux parmi nous. Richard s'est fait mordre par un serpent de mer en se baignant, plus de peur que de mal. Apparemment que sa sortie de l'eau était quelque chose à voir (rien à voir avec une tortue). Amateur d'ornithologie, j'ai vu mon premier vautour égyptien, un oiseau magnifique complètement blanc dont seul le bout des ailes est noir.
Le spectacle des tortues en train de pondre est incroyable. Nous somme à 2 pieds de ces dernières qui se délestent d'une centaine d'oeufs dans un trou géant leur servant de nid (les tortues de mer font entre 1 et 1.5 mètres). Le tout sous un ciel ponctué de milliers d'étoiles et où à nos latitudes, on peut aisément distingué le nuage que constitue la voie lactée.
J'ai terminé le week-end par une petite séance de beach en solitaire où le Gabriel Garcia Marquès que je suis en train de lire (Cent ans de solitude) a pris tout son sens. Une fois encore, un spectable inoubliable. M'adonnant à mon nouveau passe-temps (le snorqueling), j'ai été à même de constater que nous ne sommes vraiment pas seul sur cette terre. Alors que je laisse dériver sans bouger mon corps digne d'un film de Cousteau à la surface de l'eau, un banc de centaines de milliers de sardines déambulent à quelques centimètres de moi. Peu importe où je regarde, il y a des poissons. C'était hallucinant. Je me sentais vraiment comme un intru parmi eux. Puis alors que je me remet tranquillement de mes émotions en venant m'allonger sur la plage, un crabe vient me dire bonjour avec sa démarche de côté, se sortant de temps à autre les yeux de la carapace pour s'assurer que l'endroit est sécure pour y creuser son trou pour la journée.
Lors de notre visite à Ras al Jinz il y 3 semaines, nous n'avions pu voir les tortues, ces dernières ne sortant de l'eau qu'à l'obscurité. Retour donc cette fin de semaine en compagnie de Joao ainsi que de Richard et Julie de SIM. Les faits saillants du voyage, ceux du moins dont j'ai eu conscience, ayant dormi environ 8 heures sur dix sur la route car la grippe qui m'asaille et le bar marocain de la veille m'ont un peu rentré dans le corps: Julie a vu (et même embrassé) son premier chameau. Elle n'a pas fait de jaloux parmi nous. Richard s'est fait mordre par un serpent de mer en se baignant, plus de peur que de mal. Apparemment que sa sortie de l'eau était quelque chose à voir (rien à voir avec une tortue). Amateur d'ornithologie, j'ai vu mon premier vautour égyptien, un oiseau magnifique complètement blanc dont seul le bout des ailes est noir.
Le spectacle des tortues en train de pondre est incroyable. Nous somme à 2 pieds de ces dernières qui se délestent d'une centaine d'oeufs dans un trou géant leur servant de nid (les tortues de mer font entre 1 et 1.5 mètres). Le tout sous un ciel ponctué de milliers d'étoiles et où à nos latitudes, on peut aisément distingué le nuage que constitue la voie lactée.
J'ai terminé le week-end par une petite séance de beach en solitaire où le Gabriel Garcia Marquès que je suis en train de lire (Cent ans de solitude) a pris tout son sens. Une fois encore, un spectable inoubliable. M'adonnant à mon nouveau passe-temps (le snorqueling), j'ai été à même de constater que nous ne sommes vraiment pas seul sur cette terre. Alors que je laisse dériver sans bouger mon corps digne d'un film de Cousteau à la surface de l'eau, un banc de centaines de milliers de sardines déambulent à quelques centimètres de moi. Peu importe où je regarde, il y a des poissons. C'était hallucinant. Je me sentais vraiment comme un intru parmi eux. Puis alors que je me remet tranquillement de mes émotions en venant m'allonger sur la plage, un crabe vient me dire bonjour avec sa démarche de côté, se sortant de temps à autre les yeux de la carapace pour s'assurer que l'endroit est sécure pour y creuser son trou pour la journée.
Je vous laisse sur des paroles de Jean-Pierre Ferland: "...et la vie s'élargit pourtant sur quatre continents, au soleil..."
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