dimanche 26 août 2007

Du temps pourtant il y en avait tant...










Pas beaucoup de nouveau depuis mon arrivée, à part une petite saucette à la mer tout à l'heure. Depuis mon séjours à Oman, mise à part les pieds à l'eau à la plage de l'hotel, je ne m'étais pas encore baigné dans la mer, en Mer d'Oman en plus. L'eau est plus "tiède" que lors de mon départ le 24 juillet dernier et donc beaucoup plus rafraichissante... je vais y revenir.
Parlant de mer d'Oman, lors de notre voyage de pêche, on avait pris quelques petites vidéos, on peut maintenant en incorporer dans le blog, alors j'ai pensé que vous aimeriez voir sauter des Dauphins et entendre mes cris de débiles. (Désolé j'ai laissé télécharger la vidéo toute la nuit sans succès... Internet haute vitesse ici, n'est pas ce que l'on espère.)

Seul ici de l'équipe ne veut dire moins de travail, au contraire. Disons qu'on me garde très très occupé... on ne peut déléguer à soi-même... !


Admirez le coucher de soleil et l'endroit exceptionnel pour cette villa !

samedi 25 août 2007

Retour à la case départ...

Décidément rien ne peut se faire comme chez-nous par ici...

Tout d'abord, je suis de retour sain et sauf à Oman pour un beau 7 semaines, enfin pour 7 semaines dont 3 seul avec "moi-de-même" dans le bureau, snif!!. Mon voyage s'est très bien déroulé, beaucoup moins d'attentes que le premier et plus comfortable en raison du type d'avion. Hourra pour le Airbus 340! En plus nous avons fait escale au Qatar, ma première fois là bas.

Je suis arrivé à Muscat à 21h45 (seulement 15 mins de retard sur l'horaire- pas si mal non?) et j'ai tout de suite replongé dans la façon "Omanaise" de faire les choses. Pour mon visa ça a été très rapide, pour mon passage au bureau des "estampes", ça on s'en reparlera. Deux vols sont arrivés en même, soit Swiss air et Lufthansa, donc environ 400 personnes et des poussières mais seulement un, one, odin, uno, une, ein préposé aux visas. Résultat, 40 mins en ligne à attendre...

Rendu de l'autre côté, je récupère ma valise et passe finalement la porte de sortie vers "mon pouce", Joao qui devait m'y attendre. Il était donc 22h30 environ et je cherche, je regarde, je prends le temps d'attendre et attendre et finalement je décide de téléphoner à Joao pour savoir où il est dans l'aéroport... pas de réponse. J'attends, réattends et regarde et prends le temps "d'attendre" un peu plus et retéléphone à Joao... finalement c'est Richard de SIM qui me répond et me dit que Joao est parti le soir même et qu'il (Richard) viendrait me chercher lui-même.

Une erreur de date ou journée a fait que moi et Joao ne nous sommes pas rencontré à l'aéroport, serait-ce l'effet du téléphone arabe ?

Ce qui était le plus inquiètant était que j'ignorais où étaient les villas, je n'avais qu'une petite idée, je ne pouvais tout de même pas frapper aux portes de toutes les villas du quartier vers 23h30 du soir.

Anyway, tout ça pour vous dire que rien n'est exactement comme on s'y attend ici. En entrant au travail ce matin, c'était presque comme si je n'avais jamais quitté. C'est même mieux, moins de choses étrangères pour déranger l'esprit tout pour performer.

Les villas sont très biens et je vous garderai informé de tous nouveaux "happenings".

Sabin

lundi 20 août 2007

Mon retour à Oman, votre arrivée chez vous...

Salut la gang d'Oman,

j'ai suivi vos aventures avec passion depuis mon départ d'Oman et le fait de passer 3 semaines à Oman sans vous tous sera très "vide" de bons moments.

Je devrais arriver le jour du départ de vous tous pour également prendre la relève du blog et du suivi "interculturel" dont Frédéric s'est très bien débrouillé à lui-seul depuis un mois.

Cette idée de blog n'était qu'une simple "connexion" Amis-Familles-Québec-Oman qui est vite devenu le point d'attraction de plein de gens, non seulement de la région, mais de partout dans le monde. Des centaines de personnes suivent maintenant les aventures de l'équipe à Oman et sont anxieuses de chaques mises à jour.

Je lève mon chapeau à toute l'équipe et surtout à Frédéric qui nous garde les yeux grands ouverts aux nouvelles sorties dans le désert ou autre et qui, également, permettent de connaître très bien la culture Omanaise. Les aventures québécoises ne sont pas aussi éblouissantes... surtout depuis 2 semaines qu'il ne fait pas beau, aie! aie! aie!

J'arriverai donc à Oman le 23 août et tenterai de reprendre une partie de ce que Frédéric vous transmettait chaque semaine. Je laisse à Alma mes 2 jolies filles (seule photo intéressante à mettre sur le blog d'ici hi hi hi), Noémie et Sara-Kim que j'aime beaucoup.

Sabin


samedi 18 août 2007

La nature et ses merveilles!











Notre dernier week-end de ce premier séjour vient de se terminer. Ce dernier a été ponctué, en ce qui me concerne de contacts privilégiés avec tout ce qui nous entoure ici.



Lors de notre visite à Ras al Jinz il y 3 semaines, nous n'avions pu voir les tortues, ces dernières ne sortant de l'eau qu'à l'obscurité. Retour donc cette fin de semaine en compagnie de Joao ainsi que de Richard et Julie de SIM. Les faits saillants du voyage, ceux du moins dont j'ai eu conscience, ayant dormi environ 8 heures sur dix sur la route car la grippe qui m'asaille et le bar marocain de la veille m'ont un peu rentré dans le corps: Julie a vu (et même embrassé) son premier chameau. Elle n'a pas fait de jaloux parmi nous. Richard s'est fait mordre par un serpent de mer en se baignant, plus de peur que de mal. Apparemment que sa sortie de l'eau était quelque chose à voir (rien à voir avec une tortue). Amateur d'ornithologie, j'ai vu mon premier vautour égyptien, un oiseau magnifique complètement blanc dont seul le bout des ailes est noir.



Le spectacle des tortues en train de pondre est incroyable. Nous somme à 2 pieds de ces dernières qui se délestent d'une centaine d'oeufs dans un trou géant leur servant de nid (les tortues de mer font entre 1 et 1.5 mètres). Le tout sous un ciel ponctué de milliers d'étoiles et où à nos latitudes, on peut aisément distingué le nuage que constitue la voie lactée.



J'ai terminé le week-end par une petite séance de beach en solitaire où le Gabriel Garcia Marquès que je suis en train de lire (Cent ans de solitude) a pris tout son sens. Une fois encore, un spectable inoubliable. M'adonnant à mon nouveau passe-temps (le snorqueling), j'ai été à même de constater que nous ne sommes vraiment pas seul sur cette terre. Alors que je laisse dériver sans bouger mon corps digne d'un film de Cousteau à la surface de l'eau, un banc de centaines de milliers de sardines déambulent à quelques centimètres de moi. Peu importe où je regarde, il y a des poissons. C'était hallucinant. Je me sentais vraiment comme un intru parmi eux. Puis alors que je me remet tranquillement de mes émotions en venant m'allonger sur la plage, un crabe vient me dire bonjour avec sa démarche de côté, se sortant de temps à autre les yeux de la carapace pour s'assurer que l'endroit est sécure pour y creuser son trou pour la journée.
Je vous laisse sur des paroles de Jean-Pierre Ferland: "...et la vie s'élargit pourtant sur quatre continents, au soleil..."

mercredi 15 août 2007

Rien de neuf sous le soleil















Le week-end sera le bienvenu. On est tous fatigué car on veut clancher nos projets avant le départ. On amorcera samedi notre dernière semaine de travail avant le retour dans nos terres ancestrales pour des vacances bien méritées en attendant notre second séjour en septembre.


Comme il ne se passe rien de spécial dans nos vies, j'en profite donc pour mettre quelques photos pêle-mêle.


Un bel exemple de contradiction concernant l'utilisation de l'eau. Un beau petit couple qui a fait un envieux (moi en l'occurence). Et une dernière que je destine particulièrement à mes enfants qui apprécient apparemment beaucoup les photos de chameaux (je le sais, c'est un dromadaire mais ici, ils appellent ça un chameau)

lundi 13 août 2007

Erreur sur la devise ($$$)


Ceux qui me connaissent savent tous comment je suis un consommateur averti. Bref, ayant un élan nostalgique de gastronomie nord-américaine, je me rends donc au Sultan Center, là où on trouve de tout, même un sultan Qaboos, pour m'y procurer un bon vieux sac de Ruffles ondulés.


Voulant éviter d'avoir à revenir à nouveau dans quelques jours et soucieux d'économiser sur l'essence à 0.29 $/L, je me laisse tenter par le format familial. La moyenne familiale étant ici de 6 enfants, je vous passe les détails sur la grosseur du sac. Peut-être juste mentionner que j'ai dû déposer le sac dans le coffre pour le chemin du retour car l'ayant préalablement mis sur la banquette arrière, je me suis vite aperçu que je ne voyais plus rien dans le rétroviseur et comme ici on a besoin de tout nos sens pour conduire.......


Me laissant aussi interpeler par l'affiche "Best buy" au-dessus des chips qui mentionne simplement 2.65! et flairant la bonne affaire, je m'empare du sac et me dirige avec empressement et l'eau à la bouche vers ma caissière préférée dont le nez me rappelle un peu Claude Blanchard dans ses plus belles années.


Ce n'est qu'hier, en allant à nouveau au Insultant Center que j'ai constaté que je m'étais fait royalement (ou sultanament) arnaqué. Même après 2 mois, j'ai bêtement confondu 2.65 rials avec 2.65$. Bref, le putain de sac de chips m'a couté près de 8$. C'est donc avec regret que je vais désormais me rabattre sur les "Oman chips" à 1.25$/sac dont le taux de sel doit faire frémir même le plus insouciant des médecins pour les artères de ses patients.


À bien y penser, je crois que j'ai payé ma bouteille de rhum brun jamaïcain moins cher!!
Sur la photo, une infime vue du palais du Sultan auquel j'aurai peut-être finalement un peu contribué à l'aide de la Sultan tax sur mon chips.

samedi 11 août 2007

La forêt des mal-aimés à Oman






















Rien d'exceptionnel ce week-end. Plage, petite sortie en boîte, souper charcoal mercredi soir arosé de plusieurs bières. L'ébriété soudaine de Lewis (après seulement 2 bières) m'a facilité la tâche dans ma mission de lui faire aimer mon cousin éloigné Pierre Lapointe. Louis étant très rébarbatif depuis quelques jours, j'ai réussi à lui faire lâcher son tab.... de Scorpion. Bref, "Deux par deux rassemblés" a résonné plusieurs dans la soirée et un nouveau fan est né...
Toujours concernant Lewis, ce dernier étant très préoccupé par la faune domestique des villas, je lui ai appris une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne (pour nous tous): Désormais, les fourmis vont arrêter de s'alimenter à même nos brosses à dent. La mauvaise (pour Louis): Notre lézard (voir photo) va s'occuper des fourmis, son spot de chasse étant les alentours de brosse à dents. Louis, tu vas bientôt pouvoir sortir tes Lay's du frigo.
Première expérience de snorqueling (plongée en surface) en ce qui me concerne. La découverte d'une magnifique petite plage à proximité de nos quartiers m'a convaincu de faire l'acquisition du matériel nécessaire. Même dans 4 pieds d'eau (je ne vais pas plus loin, à cause de ma myopie, je ne verrais pas plus profond....) la faune aquatique est incroyable. Poissons de toutes les couleurs et toutes les dimensions, coraux, etc... Toujours à la recherche de ma première pieuvre ou raie qui sont très fréquentes dans ce secteur.

Sur les photos, les cheveux de Chambers passent au feu, deux gars comblés par la musique du grand Pierre et la bière, Mo se rappelant son adolescence avec un coke en bouteille, un vert (ou plutôt un brun) du terrain de golf local (le mot trappe de sable prends ici tout son sens)!
P.S. Pour ceux qui se poseraient des questions, on ne fait pas juste s'amuser, on travaille tous très fort aussi.

mardi 7 août 2007

Rien de spécial...




...ces derniers jours sinon quelques anecdotes.

Bonne nouvelle. Notre ami Lewis a terminé la rédaction de sa thèse de maîtrise. Quitter les distractions de l'hôtel lui aura été bénéfique.

Caro souffre toujours autant d'allergie. Tellement que même quand elle n'est pas là, j'entend reniffler (c'est ma voisine de bureau).

Je commence à m'inquiéter pour Lee. Après s'être fait raser complètement le crâne, il confond KFC et Arbee's sans s'en rendre compte. Faut croire que des gras trans, c'est des gras trans peu importe l'endroit...

On songe à écrire une MAT intitulée "Concevoir du matériel de formation", on pense que Lee s'est brûlé avec le pointeur laser de sa souris!!
On a réussi à se procurer de l'alcool grâce à Danielle, notre chargé de projet client. Il faut savoir qu'ici, on a besoin d'un permis (presque identique à un passeport) qui nous permet d'acheter une quantité fixe chaque mois. Comme elle revenait de vacance, son quota n'avait pas été complètement utilisé et l'a mis gentiment à notre disponibilité. Donc 2 caisses de bières pour la gang et quelques bouteilles de vin et un rhum jamaïcain en ce qui me concerne.




lundi 6 août 2007

Oman pays de rêves et d'aventure...

À voir comment vous voyagez et vous amusez tous et toutes, je regrette presque d'être de retour "momentanément" au Québec.

À plus les amis(es)

Sabin

vendredi 3 août 2007

Une virée de 850 km qui en aura valu la peine!!






















Sans contredit l’une des plus belles expériences depuis notre arrivée selon les personnes présentes. Nous quittons donc pour Sur, ville côtière situé à 3 heures de Muscat où apparemment on peut observer des tortues de mer dans leur habitat naturel. Arrivé sur place, nous apprenons que le sanctuaire en question est en réalité 60 km plus loin à Al Jinz.

Mais avant d’arriver sur place, Lee, qui conduit l’autre voiture, est pratiquement en panne sèche. Pourquoi n’a-t-il pas fait le plein en même temps que nous plus tôt? Nous ne connaissons toujours pas la réponse. Bref, nous nous mettons à la recherche d’une station service dans ce village qui semble au bout du monde et presque désert. Attention, la suite vous paraîtra loufoque, mais c’est la vérité. À la recherche donc de renseignements, nous croisons la route d’un omanais qui se promène en auto-école (elles sont facilement reconnaissable ici avec leurs rayures brunes). Ce dernier nous dit de le suivre. Il nous mentionne qu’il est policier, d’où la présence de cette voiture (?). Nous arrivons à ce qui semble être une cour à scrap. Notre supposé policier sort alors de sa voiture et me tend une bière (??). Nous nous rendons alors compte que notre nouvel ami est saoul comme un polonais (???). C’est alors que deux individus à la mine patibulaire sortent d’un bâtiment pour faire le plein à la manière du far-west soit pompe manuelle et transfert dans le réservoir de la voiture via une vieille canisse de métal (????). C’est alors que dans ma tête, l’expression « avoir une graine dans le gaz » prend forme et j’espère ne pas avoir à en vivre les désagréments dans les prochains kilomètres. Bref, le plein est fait, et malgré le fait qu’on ait payé 4 fois le prix, Louis, sans doute très heureux de quitter ce coin perdu, sert un généreux pourboire à nos escrocs, à leur surprise générale. Dans 10 ans, ils parleront sûrement encore du généreux canadien à lunette reconnaissant de se faire arnaquer. Toujours à la recherche du sanctuaire de tortue, notre guide nous invite encore à le suivre, non sans avoir demander que l’un d’entre nous conduise sa voiture, ce que Mo, refuse sur le champ. Nous suivons donc notre guide en état d’ébriété qui se promène allègrement d’un côté et de l’autre de la route. Mais on se sent en confiance, c’est un policier (!!!). Tout à coup, alors qu’on le suit depuis 10 minutes à 40 km/hr, ce dernier accélère et s’en va couper la route à un autre véhicule qui se trouve un peu plus loin et nous empêche le passage. Mo redoutant une tentative d’extorsion braque alors le volant et fait demi-tour, non sans que j’aie fait quelques commentaires sur le courage tunisien et sa virilité de pur-sang arabe. Mais à bien y penser après, Mo a pris une sage décision. Et on ne saura vraiment jamais les intentions de notre bon samaritain.

Après avoir attendu quelques instants, nous revenons donc sur nos pas afin d’aller observer les (……) de tortues. Nous arrivons au bout d’une route où il semble ne rien avoir sinon des travaux de construction et un cul de sac. Les autres commencent sérieusement à songer à rebrousser chemin mais suite à mon insistance, on continue quelques mètres dans un chemin de gravier pour finalement arriver devant le poste d’accueil (j’évite la description). On nous dit alors que les (……) de tortues ne sortent que le soir à 21h00 (je cherche des cartes de punch de tortue dans l'office mais en vain...) mais qu’on peut visiter la plage pour quelques rials. Tout le monde veut alors quitter et ce n’est qu’en mentionnant à mes amis que c’est possiblement la seule fois dans notre vie que l’on pourra se tremper les pieds dans l’océan indien que je réussis à les convaincre. Nous descendons donc vers la plage et là, quelle surprise. Paysage à couper le souffle avec les falaises, des vagues énormes, le turquoise de l’eau. On pique quelques têtes, sans que j’aie pris un sale bouillon après avoir été un peu trop aventureux.

Visite de la plage. On y voit de nombreux nids de tortues desquels sortent parfois des bébés et plus loin, une tortue mature morte (on ne sait pas encore si Lee avec son accent a plutôt voulu dire une nature morte!!!). Voyez la photo et dites vous que celle-ci est de grosseur moyenne.

Mais le plus fantastique n’était pas encore arrivé. Alors que nous nous apprêtons à quitter, une famille omanaise en train de pique-niquer au pied d’une falaise nous fais signe de les rejoindre. Échange de chaleureuses poignées de main, on leur sort tous notre arabe du dimanche. Mo me fait remarquer que j’en ai déstabilisé quelques uns avec mon teint basané et mes salam alekoum. Me prenant pour un local, ils ont poursuivi la conversation en arabe avec moi, ce qui, inutile de vous le dire, a coupé assez court. Nous nous retrouvons donc assis par terre et à la demande du patriarche défile alors devant nous une multitude de plats de dessert, fruits, thé, café, etc. Ce fût pour nous tous les moments les plus agréables et surprenant depuis notre arrivée. Nombreux éclats de rires, bouffe typiquement omanaise (on a gouté à tout, question de politesse) et même si ça ne parlait pratiquement qu’arabe, on avait l’impression de tous se comprendre. Juste dommage que les femmes se tiennent à l’écart, on aurait apprécié pouvoir échanger avec elles aussi. Des moments qui se vivent et qui sont difficiles à raconter. Inviter à partager le repas principal en soirée avec eux, la décision du départ a été déchirante mais la longue route de retour a motivé notre décision.

Le mot de la fin revient à Louis : « Parfois, il faut aller voir ce qui se cache derrière le décor. »
Sur les photos, de magnifiques enfants dont une qui brisera bien des coeurs plus tard, la tortue géante et Lee, notre "policier" dans sa voiture "banalisé" qui zig-zag, et notre pique-nique à l'omanaise...